RESUME : De l'épidémie et ses fléaux
RESUME: De l'épidémie et de ses fléaux.
L'épidémie sidère. On cherche un bouc émissaire car la peur s'empare de tous. Mais on ne connait pas de vraies solutions. L'épidémie modifie les comportements, les rites, elle a des conséquences économiques lourdes.
On trouvera dans cet article des éléments de bibliographie régionale et nationale ainsi que celles d'oeuvres littéraires.
Pour citer cet article :
-Bellet(Michel-Edouard), "De l'épidémie et de ses fléaux", dans Etudes Héraultaises, , N°55, 2020, pages 39-44.
Cet article a été également publié en 2024 sous le titre :
-Bellet (Michel-Edouard), "De l'épidémie et de ses fléaux dans l'Hérault" dans La revue de l'université du savoir, association qualité de vie à Grospierre sud Ardèche, N°2, 2024, pages 14-19.
RESUME : "Les filatures de soie"
Dans le courant du XIXe siècle, à proximité de villes connues pour leur industrie drapière et le filage du coton et de la laine ( Lodève, Clermont-l'Hérault), St-André -qui deviendra St-André-de-Sangonis à partir du IIe Empire- n'a pas plus de 2500 habitants.
Le village présente l'originalité de développer une industrie de filature de soie qui deviendra très vite florissante et occupera de nombreuses ouvrières issues du village et de ses environs.
C'est cette industrie que nous présentons ici dans son développement due à des négociants entreprenants non sans liens avec les Cévennes proches et berceau de l'industrie de la soie.
Pour citer ces articles : Bellet ( Michel-Edouard), "Filer la soie à Saint-André-de-Sangonis (Hérault) au XIXe siècle", dans Bulletin du GREC n°238,1er semestre 2023 pages 61-76.
Bellet (Michel-Edouard), "Filer la soie à Saint-André-de-Sangonis (Hérault) au XIXe siècle, II : éléments complémentaires" dans Bulletin du GREC, n)239, 2eme semestre 2023, pages 43-47.
RESUME : La justice de paix à Roujan
La justice de paix a été créée en 1792 sur des idées développées par les révolutionnaires, de proximité et gratuité, en réaction contre les anciennes justices seigneuriales couteuses et parfois arbitraires.
La justice de paix est développée par les pairs, hors des professionnels du droit et ou la recherche de la conciliation avant toute procédure est l'objectif premier.
Progressivement les juristes ont cependant repris de l'importance et la conciliation a connu des difficultés d'application.
Nous présentons ici un dossier de justice de paix dans le canton de Roujan ( Hérault) en 1798/1799, l'an VII de la république. Il s'agit d'un exemple ponctuel de l'importance des procédures conciliatrices, du quotidien d'un juge de paix issu d'une famille de notables locaux. Les affaires traitées relèvent principalement du domaine civil, elles concernent la terre et son exploitation, la famille et son devenir.
cette justice a, bon an, mal an, subsisté jusqu'en 1958.
Pour citer cet article : Bellet (Michel-Edouard), "La justice de paix dans le canton de Roujan (Hérault) à la fin du XVIIIe siècle", dans Etudes Héraultaises, n°56,2021, pages 165-178.
RESUME : Le lieutenant-colonel Jean-Louis Grégoire
Le lieutenant-colonel Jean-Louis Grégoire est un soldat de Napoléon, il a participé à la campagne de Russie comme à la guerre d'Espagne et bien d'autres batailles encore. Plus tard, il sera réintégré dans l'armée de la Restauration.
Né en 1783 à St-Andre-de-Sangonis (Hérault), il est mort à Montpellier en 1848.
Un leg à sa commune de naissance lui vaudra d'être honoré par l'attribution de son nom à un des cours importants de son village.
Mais J.-L Grégoire a également exercé de hautes responsabilités ( colonel de la Garde nationale) à Montpellier ou, installé pour sa retraite, il fréquente la société des notables.
Pour citer cet article : Bellet (Michel-Edouard), "Un soldat de Napoléon à Saint-André-de-Sangonis et Montpellier (Hérault) : le colonel Jean-Louis Grégoire (1783-1848)" dans Cahiers d'Arts et Traditions Rurales, n°34B, 2023,pages 233-245.